die richtung

Installation in situ, papier A4.

L’installation joue avec notre perception, elle repose sur un effet d’optique. Nous voyons dans un premier temps un tas de feuilles tombée aléatoirement sur le sol, puis se forme une image dans notre cerveau : celle d’une série de flèches apparaissant dans les vides entre les feuilles. L’aller-retour visuel entre les deux situations demande un effort de concentration. Ces flèches nous indiquent confusément une direction à suivre. Ce travail, entre ordre et chaos, sur l’angoisse du désordre et l’aléatoire interroge la perte des repères à partir d’un format normalisé et standardisé, repère de notre quotidien.